En entretien avec Télé Poche, Sylvie Vartan évoque une dernière fois la bataille autour de la succession de Johnny Hallyday. Les détails.
Cette histoire a beaucoup marqué la mère de David Hallyday. Sylvie Vartan évoque une dernière fois la bataille autour de la succession de Johnny.
« Que puis-je dire qui n’a pas déjà été dit, commenté et détourné? »
Et il faut croire que jusqu’à aujourd’hui, cette période lui est encore très douloureuse. Il est question de l’interminable guerre juridique et médiatique autour de l’héritage de Johnny Hallyday. Elle pouvait en effet ne pas intervenir pour défendre son fils. «Que puis-je dire qui n’a pas déjà été dit, commenté et détourné?, se demandait-elle. Ça a été infernal, insupportable et surtout impensable, confiait la chanteuse émérite. De ma vie, je n’avais jamais imaginé que j’aurais à faire une telle chose: aller à la télévision pour prendre la défense de mon fils. Jamais!», poursuivait celle qui fut la première épouse de Johnny Hallyday.
« Moi, quand je suis scandalisée, je ne peux pas me taire. Je suis assez cash » !
Interviewée dans les colonnes de Télé Poche, Sylvie Vartan est revenue sur cette période très éprouvante de sa vie. C’est le 5 décembre 2017 que Johnny Hallyday s’est éteint à l’âge de soixante-quatorze ans. En ayant succombé des suites d’un cancer pulmonaire, le légendaire rockeur a plongé ses nombreux héritiers dans les tourments d’une succession sensible. Impossible pour celle qui partage aujourd’hui la vie de Toni Scotti de ne pas monter au créneau. Elle déplorait notamment « une enchère de communiqués » et dénonce la publication des testaments.
« J’y ai été obligée, indiquait-elle à Télé Poche. Moi, quand je suis scandalisée, je ne peux pas me taire. Je suis assez cash et je ne peux pas laisser faire quand je vois qu’on attaque les miens ou moi directement ». Elle a appris à se calmer avec le temps. « Oui, le temps est un grand maître. J’ai mon tourbillon à moi qui me suffit amplement. Je m’occupe des gens que j’aime, les autres font ce qu’ils veulent tant qu’on entre pas dans mon jardin. La vérité finit par se savoir au bout du compte, on ne peut pas berner le public trop longtemps. »