À l’issue de cette réunion à Bercy, une discussion sur le coût des sinistres est établie. Les assureurs se sont donc engagés à garder le montant moyen des primes assurantielles. Ce qui signifie, en dessous du niveau de l’inflation.
À noter que cette limitation concerne les primes moyennes des assurances automobile et habitation. Cependant, le niveau de l’inflation ne va pas limiter la hausse des primes. Selon un dirigeant du secteur des assurances, les augmentations dépendent de la réalité des risques et de la gravité du sinistre.
Par contre, elle sera destinée particulièrement aux accidents ou catastrophes liés aux évènements naturels. Dans d’autres cas, il se pourrait que les assureurs soient obligés de répercuter des hausses au-delà de l’inflation.