La tomate et la patate restent les deux aliments les plus prisés du monde. Mélangés ensembles, on obtient une variété appelée : “pomate” (pomato ou encore tomtato en Anglais).
Pour tous ceux qui doutent encore de l’existence de ce légume, elle existe pour de vrai… Et c’est depuis fort longtemps. Eh Oui, cette variété de végétal existe vraiment. La pomate est une plante légumineuse hybride, mi-tomate, mi-pomme de terre. Elle est apparue pour la toute première fois en Europe, plus précisément en Allemagne au courant de l’année 1970. Découvrez tous les détails avec la rédaction d’Oniflhor.
Une technique qui date de plusieurs millénaires.
Rien qu’avec son non, cette variété impressionne les amateurs des sciences de la nature. Mais l’opération n’a rien de mystérieuse. À l’heure du 21 ème siècle, un tel procédé est devenu banal dans ce domaine.
Ce procédé est appelé une greffe. Il consiste à coller, selon une règle bien stricte, les tissus végétaux de la tomate et de la patate. L’objectif c’est de permettre à ces deux plantes de pousser en ensemble pour ne former au final qu’un seul noyau. Une technique vieille de nombreux millénaires.
Cependant, les biologistes n’ont réussi à maîtriser la combinaison entre les tiges souples qu’il y a seulement quelques années de cela. Une technique moderne qui exige beaucoup plus de précision. Pratiquement, la plante numéro 1 sert en effet de porte-greffe. La plante numéro 2 est appelée le plant greffé.
La pomate, une légume révolutionnaire pour résoudre le problème alimentaire mondial.
La réussite de la pomate c’est qu’elle provient de la même configuration anatomique de plante. Ce qui facilite également leur plantation. Plantée séparément, la tomate se retrouve au-dessus du sol. Par contre, la pomme de terre, comme nous le savons tous se retrouve au fond de la terre. La pomate ne nécessite pas un espace assez vaste pour pousser.
L’exploitation industrielle de ce légume pourrait résoudre en partie les gros problèmes alimentaires à l’échelle planétaire. Une perspective qui donne largement le sourire à tous les nutritionnistes chargés des projets humanitaires. Les pays en voie de développement pourraient également s’y intéressé à cette merveille de la biologie.