Karine Le Marchand, révélations fracassantes sur son anorexie dans les colonnes du magazine Gala. Oniflhor vous fait le point !
Longuement interviewée dans les colonnes du magazine Gala, Karine Le Marchand fait des révélations fracassantes sur son anorexie. Le numéro est paru en kiosques ce jeudi 4 novembre 2021. Le BFF de Stéphane Plaza revenait notamment sur l’époque où elle faisait du mannequinat.
« Je ne mangeais quasi plus » !
Pour rappel, la loi mannequins contre l’anorexie, a été publiée en 2017. Dès lors, les mannequins doivent délivrer un certificat médical pour prouver qu’elles ne sont pas trop maigres. Bien que l’on note encore le contraire lors des défilés ou sur les papiers glacés, comme l’a tout récemment rappelé Estelle Lefébure.
Karine Le Marchand se disait elle aussi, victime de ce diktat de la mode. Pour Gala, la maman d’Alya a accepté de revenir sur les dessous, pas très reluisants, de ce pan de sa carrière. Des souvenirs bien douloureux pour la présentatrice de 53 ans.
« Quand j’ai commencé, raconte Karine Le Marchand. « On m’a dit que j’avais trop de hanches. Je me suis mise à faire du sport, je ne mangeais quasi plus », poursuivait-elle. Ce diktat infernal l’a alors poussé à prendre des risques pour sa santé : « Je suis passée sous la barre des 50 kilos pour 1,77 mètre. »
« La seule chose dont je me souviens, c’est qu’il y avait à l’époque, des parties fines organisées par des vieux dégueulasses » !
« Dans la vie, rajoute encore l’ex de Joey Starr. Je suis tout ou rien. Pour tout. Et dans l’hyper contrôle », assurait-elle. Elle est angoissée à l’idée que « tout puisse s’écrouler« .
Abandonnée par son père depuis ses 2 ans, Karine Le Marchand affirme qu’elle ne peut compter que sur elle-même. « Je n’ai que moi. J’ai grandi sans pilier. Et je suis celui de ma fille. »
La star de M6 et animatrice préférée des Français en a profité pour évoquer le sujet portant sur le harcèlement sexuel et sexiste. Elle déplore effectivement l’existence d’un climat « malsain« .
« La seule chose dont je me souviens, c’est qu‘il y avait à l’époque, des parties fines organisées par des vieux dégueulasses, c’était malsain, mais consenti« , se rappelle la présentatrice phare de L’Amour est dans le pré. Une chose est sûre, elle n’a jamais été victime de ce genre de chose.
