Difficile pour Julien Cohen de cacher son mécontentement à cause du montant faramineux de sa facture d’électricité. L’antiquaire tire sur la sonnette d’alarme !
Alors qu’il procède actuellement à la réhabilitation de l’ancien Hôtel Dieu dans l’Eure-et-Loir, Julien Cohen est resté sous le choc en jetant un coup d’œil à ses factures d’électricité. Et pour cause…
Julien Cohen : départ précipité dans « Affaire conclue »
Julien Cohen s’est fait connaître du public en participant à l’émission « Affaire conclue » sur France 2. Le légendaire homme aux lunettes bleues a rapidement séduit les fidèles téléspectateurs de Sophie Davant. Mais récemment, il a pris la décision de rendre son tablier, au même titre que son ami Pierre-Jean Chalençon, parti de l’émission en 2021. Une initiative prise pour des raisons familiales.
A ce propos, l’ancien acheteur de France Télévisions souligne : « Plusieurs événements ont justifié cette décision. Dernièrement, j’ai lancé un appel à candidature pour le lancement de maisons d’antiquaires (…). Il y a eu beaucoup de retours et j’aimerais aujourd’hui me focaliser sur ce projet », dans les colonnes de Télé-Loisirs.
L’antiquaire outré par le tarif des travaux
Depuis le mois de mars dernier, Julien Cohen n’est plus à l’affiche du magazine d’enchères de France 2. Aujourd’hui, il est pleinement investi dans son projet lié aux maisons des brocanteurs. Parmi ses cibles figure l’ancien Hôtel Dieu implanté à Châteaudun. Après avoir commencé les travaux de réhabilitation il y a un mois, l’acheteur aux lunettes bleus est excédé. En cause : le montant faramineux des notes d’électricité !
L’antiquaire n’a pas tardé à partager son mécontentement sur les réseaux sociaux. « Je viens de recevoir la facture d’électricité et je suis sans voix ! Ils m’ont facturé 14 000 € pour un mois de travaux », s’est-il indigné.
Le principal intéressé poursuit en expliquant qu’il n’avait pourtant utilisé que deux chauffages de 4,5 kilos pour favoriser le séchage des matériaux. « 14 000 € ! C’est abusé, je ne comprends rien ! A présent, je comprends mieux pourquoi les boulangers et les autres professions sont en galère. C’est une aberration », a-t-il conclu.
