C’est triste…ça fait même fendre le cœur de voir cette icône de la chanson française dans cet état. Soufrant d’une très grave malade, Françoise Hardy fait désormais face à cette fin de vie extrêmement douloureuse. Les détails avec la rédaction d’Oniflhor.
Plongée dans cet état de « souffrance cauchemardesque » après avoir luté au quotidien contre son cancer (du larynx) , la chanteuse baisse les armes. Âgée actuellement de 77 ans, l’artiste ne va pas du tout tenir longtemps. D’où cet appel à l’aide adressé particulièrement à Emmanuel Macron et son gouvernement. Françoise Hardy : cette fin de vie extrêmement douloureuse pour la chanteuse !
« Pour m’alimenter, confessait-elle, ça prend six heures par jour«
Tout le monde se rappelle encore de cette confidence surprenante de l’ex-épouse de Jacques Dutronc sur les ondes de RTL il y a quelques mois de cela. La chanteuse, sans chercher à dissimuler le mal dont elle souffre ces dernières semaines, a tenté de trouver ses mots pour décrire son quotidien infernal causé le cancer du larynx. « Pour m’alimenter, confessait-elle, ça prend six heures par jour« , débutait-elle.
« Le reste du temps, ajoutait-elle avec cet air de chien abattu, je réponds aux mails, je fais des soins médicaux importants, je suis complètement asséchée de partout à cause des rayons, poursuivait-elle. Ils m’ont traversé 45 fois la tête. Ils ont brûlé mes glandes salivaires…« , ajoutait-elle.
L’euthanasie, est-ce la meilleure option ?
D’une façon ou d’une autre, « je suis dans un état de souffrance vraiment cauchemardesque la plupart du temps« , reconnaissait-elle. Ce la pousse vers l’euthanasie. « À partir d’un certain moment où il y a beaucoup trop de souffrance et où il n’y a aucun espoir, il faut abréger les souffrances. C’est la moindre des choses, déclarait-elle. C’est humain« , affirmait-elle. « Il faut que la France en fasse autant. Il faut faire cette loi « , lâchait Françoise Hardy pour alarmer le pouvoir en place.
Vers la fin, elle était revenue sur la fin de vie de sa mère, souffrant de la maladie de Charcot. »Ma mère a pu, avec ma complicité, se faire euthanasier. De savoir que son médecin pourrait l’aider et faire en sorte qu’elle soit euthanasiée quand elle ne voudrait plus continuer à vivre cette horrible maladie. Ça a été un confort extraordinaire« . .