Thomas Dutronc vient de donner des nouvelles de sa mère. Françoise Hardy est de nouveau au plus mal, découvrez la vérité sur son état de santé.
Terrassée par un très grave cancer, la chanteuse n’envisagerait point mourir de souffrances. Plus récemment, son fils unique, Thomas Dutronc lève enfin le voile sur ce sujet. Françoise Hardy au plus mal, la vérité sur son état de santé.
» Ils me pourrissent la vie… »
Trois ans après le dépistage de son cancer du larynx, son état de santé ne s’améliore pas. Depuis le courant du mois de mars 2021 En mars, elle a complètement changé de discours. Elle fait part en effet d’un « état de souffrance vraiment cauchemardesque ».
Elle est victime des « effets secondaires cauchemardesques » de ses traitements. « Ils me pourrissent la vie depuis deux ans et m’affaiblissent de plus en plus à cause de l’absence de salive, du manque d’irrigation de toute la zone ORL, d’un assèchement généralisé et des hémorragies nasales, des détresses respiratoires », confessait-elle.
Des douleurs atroces qui ne correspondent plus à sa carrière d’artiste. « On ne peut pas être chanteuse et être dans cet état-là, ce n’est pas compatible, avouait-elle d’ailleurs. J’ai ma gorge qui est fragile, je ne sais pas si je pourrais jamais m’en servir à nouveau »,a-t-elle poursuivi.
« Il ne veut pas que je souffre de façon inhumaine«
Par ailleurs, Françoise Hardy n’avait même plus retrouvé l’ouïe d’une oreille. « Je ne suis pas sûre d’arriver à chanter à nouveau ni même d’en avoir envie parce que quand on est à moitié sourd, ça me paraît pas possible. J’ai 75 ans, je pense que j’ai assez chanté comme ça »,racontait-elle très tristement dans les colonnes du magazine Paris-Match.
« Je ne peux plus avaler grand-chose, et la préparation d’une alimentation, toujours la même, que je puisse avaler, me prend plus de 5 heures par jour. Je n’ai plus rien qui fonctionne normalement depuis ces thérapies et mes nuits sont pires que mes jours. Il y a toujours pire que ce dont on souffre soi-même, mais ce n’est pas une consolation. »
« Jacques et moi sommes d’accord sur beaucoup de choses et il ne veut pas que je souffre de façon inhumaine à cause des séquelles de traitements trop lourds et de l’âge. Qui voudrait ça ? »