A chaque début du mois de février, de nombreux changements viennent bouleverser le quotidien des Français. Cette année ne dérogera malheureusement pas à la règle !
Alors que l’inflation continue de fragiliser le pouvoir d’achat de nombreux Français, diverses augmentations risquent de compliquer davantage les choses pour ce mois de février. Le point à travers cet article !
Plusieurs revalorisations prévues à compter de cette semaine
Parmi les changements à prévoir figurent ceux liés à l’utilisation du livret A qui devrait rapporter plus d’argent aux bénéficiaires cette année. En effet, à partir du 1er février, le taux est fixé à 3% contre 2% auparavant. Le seuil maximum d’épargne est fixé à 22 950 € pour les particuliers contre 76 500 € pour les associations.
D’autre part, la prime de rénovation sera également revalorisée. Il s’agit notamment de l’offre « rénovation globale » qui passera à 10 000 € pour les foyers aux ressources intermédiaires et 5000 € pour les foyers ayant un revenu aisé. Le seuil maximal atteindra en revanche les 25 000 € pour les copropriétés à partir de ce mois de février.
Enfin, les Français pourront profiter davantage du bouclier tarifaire pour lutter contre la hausse des prix de l’électricité. Une nouvelle réjouissante lorsqu’on sait que la hausse des factures va avoisiner les 15%. A ce propos, le gouvernement précise : « Il s’agit d’une hausse moyenne estimée à 20 € par mois pour les familles qui se réchauffent à l’électricité, à la place des 180 € sans ce dispositif ».
Diverses augmentations qui risquent de perturber le quotidien
Malgré ces bonnes nouvelles, d’autres mesures vont en revanche impacter sur le portefeuille des Français. A titre d’illustration, les tarifs appliqués par les conducteurs de Taxis vont augmenter de 4% en raison de la crise énergétique. Le prix minimum quant à lui ne changera pas (7,20 €). La course horaire sera fixée à 38,9 €. Cette nouvelle s’applique également sur la tarification des Uber puisque les petites courses seront désormais facturées à 10,20 €. Une initiative prise dans le but de permettre aux conducteurs d’accéder au revenu minimum de 7,65 € par course.